Sous les toîts..
Et voilà à quoi résonne les semaines passées sur Paris
chez Félicie, à de nombreuses ballades, à de nombreux
déjeuner en un petit coin d'appartement devenue veritable
terrasse privée, au soleil, avec de vraies couleurs d'été sous
les yeux. Des repas certes copieux (mais ça, c'est notre faible
à toutes les deux, à deux on remplirait 4 ventres, oui, oui)
Et des plaisirs retrouvés, comme ici LA Corona (sinon je meurs)
Mais derrière ces jolis moments de détente, se cache
de longues heures passées devant un standard télépho-
nique, à attendre desesperement le client, a badger une
centaine de personnes, à sourire tellement fort que la
machoire douille à la fin de la journée, non, vraiment
soyons objective, c'est de l'ordre de l'escargot, mais
paradoxalement, ces jobs d'été nous épuisent rapidement
et cela se sent..