La rentrée est signe de nouveauté, ainsi je vous invite
à me suivre sur cette nouvelle page, qui n'est rien d'autre
que la simple continuité de ce blog, en un espace mieux
organisé, plus juste encore, plus créatif, qui me ressemble
davantage. Au plaisir de vous savoir toujours prêt de moi
et de continuer à m'envoler sur la blogosphère avec vous
Audrey.
http://lesptitspotsdanslesgrands.blogspot.com
Je me lance, enfin, après quelques doutes sur le pb
de l'aquisition, mais avec la grande aide de maman
qui garde un gout exquis des belles choses, et de la déco
ça y est, je me lance dans une collection de chaises pour
enfants. Pas très original allez vous me dire ? c'est LE
nouveau truc à faire, rares et précieuses sont ces pièces
et pourtant, il suffit de parcourir les plus grandes et
traditionnelles brocantes de régions perdues, pour
commencer en beauté avec cette si jolie petite chaise
dont maman m'a agréablement fait surprise à mon
arrivée. 
Daté "1958", elle est unique, et n'a pas 1
seule égratinure, que voulez vous, les pièces pour
enfants restent les plus belles choses à collectionner !
Tout en restant dans cet optique là : à la recherche
des objets anciens, mais restant beau, et originaux
je selectionnerais parmi les trouvailles de mes parents:
Vous l'aurez bien remarqué, une chaleur monstre à Paris,
devenu irrespirable, alors pour prendre un peu l'air, des
week-end ensoleillés, à la campagne, à la mer, bref là
ou la nature nous donne le meilleur, santé et pureté..
Un doux week-end au soleil avec ma Loutich (de son
vrai nom Laura), qui elle, revient de grandes vacances
chargées en UV, quant à moi, je suis ENFIN en droit de
les prendre ces vacances, et bon dieu, quel Pied !
Oh qu'elle est belle ma loute, voui voui !
Des jeux d'enfants, des ballades à vélos, des soirées
arrosées, des plaisirs simples, des vêtements léger.
Ce qu'il y a de chouette avec l'amitié, c'est que rien ne
vous trompe jamais, tout avance, coute que coute, que
rien n'a de sens que dans le vécu, et les moments passés
a se vivre mutuellement, merci ma loute, pour tout !
On trouve quoi dans ton sac Audrey ? Ben..comment te
dire.. Des pochettes, des pochettes, et encore et toujours
des pochettes.. Ah donc en fait, c'est une manière de
"ranger" ton sac ? Voilà, c'est ça, les pochettes si tu veux
c'est comme les tiroirs d'une grande commode, faut pas
tout mélanger.. Et au bout du compte dis moi, tu t'y
retrouve mieux ? Bah pour tout t'avouer, c'est pareil
sinon pire, je suis parfois obligée de les ouvrir toutes
pour trouver ce que je cherche. Conversation close !
Mais en fin de compte, moi les petits pois, ça me plait!
Je vous présente Anita, ma souris qui me suis partout!
Il s'avère que j'ai une facheuse tendance à faire du
grand n'importe quoi avec mes vêtements, et tout
particulièrement avec les jupes.. N'étant pas très jupe
par habitude mais plutot robe, eh bien disons que je
transforme les codes, je remonte tout ça, et tant pis
pour l'utilité. Ok, c'est pas très joli de faire ça, et
d'ailleurs c'est rien qu'a la maison pour faire la folle
devant l'objectif, mais ça n'empeche pas que j'ai
un rapport toujours aussi tendu avec la jupe, va
savoir pourquoi, je ne trouve jamais quoi mettre avec..
C'est promis, demain, j'arrête les bêitises !
"C'est fou comme la solitude à des vertus inattendues.
Bien souvent j'ai pensée qu'elle n'était là que pour nous
rappeler à chaque instant notre si rude rapport avec nous
même, nous laissant à mille et une contemplations sur le
temps qui passe et celui qui arrive. Un vide obscur et tentant
qui permet à la pensée diverses souplesses que l'on aimerait
parfois éviter. Elle participe pourtant au semblant d'équilibre
qui tamise notre vie."
"Saint Germains des Près pour ses magasins, pour son
Boulevard, pour son histoire. On s'y sent toujours bien
parce qu'on a l'impression de faire partie d'un tout
fondamentalement inscrit dans la beauté qui se dégage
de ce lieu, on se sent presque beau. On se rue à St Germain
pour pouvoir le raconter, pour pouvoir le dire, le penser
au fond de nous, pour ressentir quelque chose de particulier
que l'on ne trouvera pas, car l'on ne sait pas chercher au
bon endroit, au bon moment"
Classique et traditionnel, ce lieu est une ressource phare
pour de nombreuses personnes. J'aurais aimé vous dire
pourquoi, ce soir là, tout à coup, je suis partie vivre ce que
je planquais dans mes valises, l'envie de construire
étroitement mais surement le puzzle de ma solitude, le
rendre clair et précis, le découvrir au fur et à mesure que
les pièces s'allignaient. Un chemisier blanc pour transformé
l'idée d'un retour de plage en une ballade estivale et nocturne
sur les pavés d'un Paris ombragé par les platanes.
Les Deux Magots, c'est le vieux policier des années 50
le cigare, le trench, les lacets légèrement défaits, le charme
d'une peau hâlée d'un homme qui aborde conscensieusement
la cinquantaine. Tout est passionnant, tout est passionné
Le petit paradis où s'enfuient bien souvent papa et maman
à présent, il y fait bon vivre et rien n'échappe au naturel,
au découlement des saisons, à un esprit sain et leger qui
néttoie le corps et l'âme du quotidien bourrée de pollution.
Bois, métal, duvet, coton, mousse, toute matière est
épuré, calme, vaporeuse et soignée, une étonnante
et délicate impression de sécurité, rien qui ne pourrait
faire faille à la santé, tout y est libre, il est là le mot :
Liberté
Tout détail est à reprendre, à capter, à faire vivre, chaque
recoin est précieux et tendre, on s'y love avec une simplicité
débordante, tout invite à boire un verre, manger, courir, vivre
Les animaux, bien sur au RDV, des mouvements, de la
terre, de l'eau, de la vie en éclat, partout autour de soi
Mais la plus chouette, la plus drole dans toute cette
troupe d'animaux heureux de vivre de leur condition
c'est bien Tanouille, qui en fait rire plus d'un tout au
long de la journée..!
La photographie paraît être une activité facile, c'est une
opération diverse et abigue où le seul dénominateur
commun de ceux qui la pratique est l'outil. L'appareil
photographique est pour moi un carnet de croquis,
l'instrument de l'intuition et de la spontanéité, le maître
de l'instant qui, en termes visuels, questionne et décide
à la fois.
Elle est une attitude qui exige de la concentration, une
discipline d'esprit, de la sensibilité et un sens de la
géométrie. C'est par une grande écnomie de moyen
que l'on parvient à la simplicité d'expression. Photographier
c'est retenir son souffle quand toutes nos facultés se
conjuguent devant la réalité fuyante. C'est mettre sur
la même ligne de mire la tête, l'oeil, le coeur...
C'est une façon de vivre..
Il faut que chaque mouvement soit une fête, une nouvelle
histoire du corps et de l'esprit, une élégante immodération
de la joie... Voilà ce que je recherche dans mes photos
et voilà ce que j'arrie à faire avec mes amies, et cela me
pousse a toujours aller plus loin, à penser mes photos
à les rendre studieuses et délicates, grâce à la personnalité
de chacune. Merci ma petite Princesse d'avoir jouer le jeu.
( Extraits : Henri Cartier - Bresson, et impressions personnelles)
